avenirs humanitaires
Photo: George Mulala/IRIN |
Une femme de 80 ans porte son petit-fils sous-alimenté près d'Afder, dans le sud de l'Ethiopie |
[Ceci est la première partie d’une série de deux articles spéciaux publiés par IRIN sur le risque et les interventions humanitaires à l’avenir]
Dans le même temps, un grave séisme vient de toucher la Californie, sur la faille de San Andreas. Les agences gouvernementales et les organisations non-gouvernementales (ONG) américaines ne savent déjà plus où donner de la tête.
Mais grâce au plan de contingence lancé 10 ans plus tôt, un réseau a été créé, renforcé par l’innovation et la participation de nouveaux acteurs, qui permettra de porter secours à la Corne de l’Afrique.
En effet, les ONG travaillent déjà avec un partenaire différent, la diaspora africaine d’Europe et d’ailleurs, en vue de renforcer un système destiné à protéger des populations autrement démunies. Dans le cadre d’une nouvelle forme de collaboration avec le secteur des entreprises, les sociétés mettent la main à la pâte pour protéger leurs intérêts.
Telle est la vision du Humanitarian Futures Programme (HFP) du King’s College de l’Université de Londres, qui vise à améliorer la réflexion stratégique des organisations humanitaires en prévision de crises futures, plus incertaines, plus dynamiques et plus complexes.