atm11

Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le HFP, partenaire de 16 organisations


Le HFP collabore avec 16 organisations, dont trois organes régionaux comme la CEDEAO, trois organisations multilatérales telles que le Bureau pour la prévention des crises et le relèvement, du Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD-BCPR), quatre ONG, telles que BRAC, du Bangladesh, et l’International Council for Voluntary Agencies, et six gouvernements dont ceux du Danemark, de la Norvège, de la Suède, du Royaume-Uni et des Etats-Unis.

Avec le PNUD-BCPR, il mène un projet de recherche sur la République centrafricaine. Dans le domaine de la conception de scénarios, le programme demande à des participants de concevoir ce que l’avenir sera, à leur avis, sur une période de 10 à 15 ans, puis d’envisager leurs capacités structurelles et opérationnelles actuelles, afin de déterminer les changements à apporter pour faire face à cet avenir.

Selon les recommandations formulées dans un rapport rédigé pour le compte du Centre américain d’études stratégies et internationales (CSIS), le gouvernement devrait chercher à créer des structures onusiennes d’intervention humanitaire qui soient plus efficaces par le biais d’un système d’alerte précoce intégré, à assigner à l’avance les rôles des intervenants dans les domaines de vulnérabilité prédéterminés, et à créer un entrepôt virtuel qui recenserait l’ensemble du matériel de secours mondial.

« En collaborant très étroitement avec eux [les partenaires du HFP], nous espérons trouver un processus, une méthodologie, des techniques, des outils qui permettront à la communauté humanitaire dans son ensemble d’avoir une meilleure capacité d’anticipation et d’adaptation à l’avenir », a déclaré M. Kent. « La difficulté consistera à faire en sorte que cette communauté pense en termes de vulnérabilité [future] ».

« C’est toujours le même débat, “Oh, c’est très académique, tout ça. Moi, je suis là pour sauver des gens” », a-t-il noté. « Ce que je veux dire, c’est que si vous êtes vraiment là pour sauver des gens, commencez à travailler et à faire preuve d’un esprit plus stratégique dans votre façon d’envisager l’avenir ».


Photo: Tim McKulka/UNMIS
Inondations dévastatrices au Sud-Soudan
« Les choses et les dynamiques sont en train de changer et la façon traditionnelle qu’a la communauté de penser à ces choses, de s’y préparer, d’en débattre, devient de plus en plus hors de propos », a-t-il ajouté, en concluant néanmoins que « les gens sont de plus en plus réceptifs. D’une manière ou d’une autre, le message est en train de passer ».

Les commentaires sont fermés.