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  • AFDI11 : action audoise au Burkina

     

    Nos activités sont centrées sur deux partenaires :

    • La SOGCAM , coopérative de la vallée du SOUROU, produisant essentiellement du haricot vert et de l’oignon.

    • la COPRODA , coopérative composée de paysans cultivant sur le périmètre du barrage de DAKA où deux productions sont présentes le riz et l’oignon

    Notre partenariat a porté durant 2007 principalement sur des actions d’ appui à l ‘amélioration des conditions de travail ( amélioration de l’ irrigation, équipement charrettes, accès aux intrants) : 3 protocoles de crédits signés entre le CIDR , Afdi et nos partenaires, actions améliorant les conditions de production et un appui à la commercialisation des produits maraîchers par les producteurs des 2 coopératives ( financement d’un voyage de recherche de marché au Ghana), l’ organisation d’un voyage sud/Nord

    1 / Coproda à DAKA :

    Nous avions été interpellés en décembre 2003 par les producteurs de ce petit périmètre de 8 ha ( 100 producteurs dont 40 femmes) suite à des difficultés de maîtrise technique de leurs productions et des problèmes organisationnels suite au départ de leur encadreur.

    Notre aide s’est traduite dans un premier temps par le financement d’un animateur afin d’améliorer ces problèmes techniques.

    Ceci a permis de développer les échanges entre producteurs et de réfléchir ensemble à la résolution de certains problèmes , mais il s’agissait d’un appui temporaire.

    Aujourd’hui, le groupement s’est transformé en coopérative, les rendements ont augmenté, une meilleure organisation collective est constatée.

    Sur l’année 2007,nous rappelons que notre action a permis :

    • d’aider les producteurs à obtenir une ligne de crédit auprès du CIDR afin de pré financer l’achat des engrais pour l’oignon

    • de mettre en place des semences de base de riz pour améliorer cette production,

    • d’organiser une formation de fumure organique.

    • de les aider dans leur réflexion sur la lutte contre l’envasement du barrage.

    Malheureusement, le remboursement de ce crédit a pris du retard et nous ne l’ avons pas reconduit comme prévu .

    2/ SOGCAM :

    1862681877.jpgLes premières rencontres avaient fait l’objet d’échanges sur l’organisation en coopérative et sur l’aspect technique concernant les cultures produites sur le périmètre. Nous avions élaboré un programme d’actions ayant pour objectif de faire de cette coopérative une entreprise viable et porteuse de développement pour ses adhérents et la région du Sourou et contribuer à fédérer les OP de cette zone.

    .Les principales actions menées en 2007 ont été :

    • poursuite du suivi au conseil de gestion avec l’appui de l’animateur du réseau gestion.

    • Mission sud / nord pour les présidents de chaque coopérative partenaire en juin / juillet 2007 en France où ils ont rencontré plusieurs organisations professionnelles et pris des contacts pour l’ écoulement de l’oignon. Les points à développer au retour de leur mission sont à leurs yeux : l’organisation commerciale des produits maraîchers, le conditionnement et la conservation de l’oignon, l’ association élevage/maraîchage .

    • Poursuite du projet charrettes : achat de nouvelles charrettes

    • formation à l’utilisation de fumure organique

    • Prospection commerciale au GHANA en association avec la Coproda.

    • Mise en place d’ outils comptables et de suivi du paiement des redevances.

    • Etude réalisée par un stagiaire

    Nous avions envisagé de réaliser un stage sur la conservation et la commercialisation de l’oignon.

    Après plusieurs contacts avec des écoles françaises, aucun candidat ne s’est présenté.

    A ce jour ,Karime Seré a enfin réussi à motiver un jeune Burkinabé sur ce thème.

    Il travaillera sur ce thème jusqu’ au mois de mars et nous attendrons alors son rapport.

    Nous avons profité de notre mission pour rencontrer S. D.( stagiaire) à Bobo pour définir plus précisément son étude :

    - 1 / la compréhension de l’ existant : marché , offre et demande, identification des acteurs de la filières, évolution des prix , comparatif avec les campagens précédentes, contacter chaque organisation individuellement, travail de mise en relation à mettre en place.

    - 2/ positionnement de la sogcam dans ce marché

    - 3/ pistes d’ amélioration de la commercialisation

    - 4/ cas particulier : la conservation ( la capitalisation d’expériences, le calcul économique )

    - 5/ élaboration et rédaction d’un projet de faisabilité et de financement à destination de partenaires financiers

    Peut être, que s'il est nécessaire d' aller plus loin dans l' étude, il faudra trouver d'autres partenariats avec d' autres Afdi.

    B – objectifs de notre mission

    1 poursuivre l’étude du fonctionnement de la Sogcam , pas dans l’optique d’un contrôle mais d’une meilleure connaissance réciproque pour une meilleure efficacité.

    2 poursuivre le suivi des documents comptables mis en place à la Sogcam, apporter les améliorations nécessaires , et en réaliser une première analyse.

    3 réfléchir sur l’ organisation de la commercialisation des produits maraîchers par les 2 coopératives

    4 améliorer la qualité des produits maraîchers des 2 coopératives.

    5 d’échanger avec les structures bancaires locales (CIDR : bilan des différents protocoles ) et de réfléchir ensemble sur les perspectives de travail.

    6 réfléchir à l’évolution de notre partenariat avec Coproda et projets pour 2008

  • FRANCE-CUBA : action audoise à Cuba

    a90914a2e4afab296bc1577983f8ee41.jpgL'école Fabric Aguilar Noriega appartient à l'enseignement spécialisé, elle accueille 103 élèves sourds-muets de la province de Villa Clara, soit 37 filles et 66 garçons, agés de 5 à 17 ans (bénéficiaires directs).

    L'école étant un internat, les 56bpersonnes qui travaillent, y vivent toute la semaine avec les enfants, ce sont aussi des bénéficiaires directs de l'opération.En coordination avec les autorités locales chargées de la reconstruction de l'école, et avec le soutien d'Aude Tiers Monde (Conseil Général de l'Aude), le comité audois France-Cuba a apporté un soutien financier à l'achat des matériaux nécessaires à la réfection du bâtiment, à l'équipement en mobilier et matériel spécifique d'enseignement pour sourds-muets. Les travaux réalisé figurent pour l'essentiel dans l'album photos.

  • LES AMIS DE MONA : action audoise en Haïti

    Une aide financière "des amis de Mona" a permis d'assurer en collaboration avec l'associatio "Aide et partage":

    - pour les 15 enfants "restavec" des "Coeurs joyeux" leur scolarité pour l'année, avec 2 repas chauds par semaine pendant 2 mois (reste financé par "accueil et partage".

    - pour 10 familles en difficulté: une bourse pour assurer "l'écolage" de leurs(s) enfant(s).

    - pour faciliter la communication avec les acteurs audois: l'installation d'internet à Verrettes.

    - l'achat de quelques objets d'artisanat haïtien.

    La réalisation des projets sur le terrain est suivie régulièrement par téléphone avec Mona Pierre en Haïti et Jacques Gentil en France. Jacques Gentil est responsable de l'association "accueil et partage" en France, chargé de coordonner les projets soutenus par cette association en Haïti (dont ceux de Mona), et se rendent en Haïti 2 fois par an. A noter que grâce à cette assocaition, le projet de construction de la maison d'accueil "les coeurs joyeux" avance: acquisition du terrain, aménagement de son accés, clôture, et début des fondations.

  • LES AMIS DU PAYS ASSIKOI : action audoise en Cote d'Ivoire

     Nous avons financé la formation à la couture de deux jeunes filles. (Jeannette 24 ans et Juliana 21 ans) Les deux jeunes filles, originaires d’Assikoi, vivent à Abidjan.

     

    Jeannette qui vient de terminer son apprentissage de couturière peut ouvrir un atelier et de ce fait former gratuitement sa sœur Juliana, ce qui évitera les frais d’apprentissage payés actuellement. Une fois qualifiée, Juliana travaillera en association avec Jeannette.

    Nous avons pu créer un atelier de couture dans le quartier d’Abobo à Abidjan. La conjoncture économique actuelle fait qu’un tel atelier n’aurait pas été rentable à Assikoi et cela, d’autant plus qu’il y a à Assikoi plusieurs ateliers de couture qui ne fonctionnent à plein temps qu’à certaines époques de l’année. En périodes creuses les couturiers exercent, par la force des choses, le métier moins rémunérateur de planteurs. L’atelier de Jeannette et de sa sœur est situé dans une maison en bordure d’une route qui conduit au marché. De nombreuses femmes passent par-là pour faire leurs courses. Abobo est un quartier populaire où vivent de nombreux cadres. Il y a une importante gare routière.

    Les périodes de fêtes sont très nombreuses et très propices pour la confection de vêtements et cela, malgré la récession économique que traverse le pays. Pendant ces périodes, certains ateliers doivent s’organiser pour travailler 24 h /24 et souvent sont obligés de refuser des clients. Jeannette et Juliana ne fabriqueront que des vêtements féminins. En moyenne, on peut considérer au minimum un client par jour, soit un rapport journalier de 7.62 €. Comme les ateliers fonctionnent six jours sur sept à raison de 4 semaines par mois on peut prévoir que le rapport mensuel sera environ de 91.44 €.

    Les tissus sont fournis par les clientes qui versent en plus un acompte permettant de payer les petites fournitures. (Fil, aiguilles….) Le propriétaire du local offre, en remerciement de l’aménagement de la maison, un an de loyer gratuit et s’engage à demander ensuite un loyer maximum de 15.24 €. On voit tout de suite que la marge est suffisante. Même en cas de difficultés passagères pour vendre des vêtements, l’atelier devrait dégager un bénéfice suffisant pour faire vivre les deux jeunes filles.

    En remerciement de l’aide apportée Jeannette et Juliana devraient pouvoir former gratuitement à la couture, une ou un ressortissant d’Assikoi.

    En fonctionnement depuis septembre, les jeunes filles ont investi dans du matériel : achat d’un mannequin 15000 FCFA (22.87 €), de patrons, payé leurs charges et leurs taxes et dégagé un bénéfice de 40 000 FCFA. (60.98 €). Tout en assurant leur nourriture depuis novembre. Jusqu’à présent elles étaient nourries par leur frère. Bien entendu, à compter de maintenant elles fabriquent leurs vêtements.

  • ASSIKOI: projet d'électrification

     

    Electrification de la Macas. (Maison des arts et de la culture d'Assikoi)
    L'électrification de la Macas par procédé photovoltaïque est un projet intéressant. Sur le plan technique il peut être réalisé comme suit : éclairage de la grande pièce (40 m2) 4 heures par jour, de la bibliothèque 2 heures par jour, du bureau 4 heures par jour, des sanitaires 1 heure par jour, du hall d'entrée 4 heures par jour, des extérieurs 4 heures par jour pour une puissance de 519 watts pour 42 ampères jour. L'ensoleillement estimé à 8 heures par jour
    permettrait avec 3 modules solaires de fournir 750 watts par jour permettant de charger trois batteries qui fourniraient le courant nécessaire. Il n'y a pratiquement pas d'entretien. Le coût du matériel est estimé à 12 912,61 francs hors taxes soit 1968, 68 €. Pour le coût du transport le poids est de 260 kg pour un volume d'un demi-mètre cube. L'installation pré-montée en France peut être facilement mise en place à Assikoi.. Mais il convient de s'entretenir de ce projet avec les autorités d'Assikoi pour avoir leurs avis et leur accord. Pourquoi un tel projet : pour permettre aux enfants défavorisés qui n'ont ni éclairage, ni table chez eux de disposer d'un endroit où ils pourraient faire leurs devoirs le soir, cela éviterait à certains, d'aller réviser dans la rue sous les lampadaires. Encadrés par un surveillant qui ferait du soutien scolaire ces enfants auraient de plus grandes chances de réussite à l'école. Cela permettrait également d'attirer les jeunes et peut-être les adolescents et les adultes vers la bibliothèque. Nous ne devons pas négliger, même si les enfants viennent à tour de rôle, les éventuelles jalousies que cela peut entraîner, la position des enseignants et leur éventuelle implication, les heures de repas du soir qui ne seront peut-être pas en adéquation par rapport aux heures d'ouverture de la MACAS, le manque d'éclairage pour l'accès à la Macas et les dangers qui y sont liés : risques de chutes, serpents, le fait qu'il faudra trouver un financement pour indemniser le surveillant et pour payer l'eau des toilettes. Enfin qu'il faudra aller sur place pour faire le montage.

  • ASSIKOI : bilan

    Lecture est faite d'une lettre de madame le sous-préfet d'Assikoi qui se réjouit des actions de l'association les Amis du pays d'Assikoi et qui encourage les Amis du pays d'Assikoi à prendre contact avec elle pour tout projet que l'association se proposerait de réaliser à Assikoi. L'ensemble des membres présents apprécie vivement que l'association les Amis du pays d'Assikoi soit reconnue par les hautes autorités administratives et qu'elle puisse soumettre ses projets à leur appréciation.
    Lecture est faite d'une lettre de monsieur Akoun Martin qui relate les interventions qu'il a entreprises auprès des douanes pour obtenir l'exonération des taxes douanières des matériels du conteneur.
    Lecture est faite de la lettre adressée par monsieur Akoun Martin à l'administration des douanes. La collaboration de monsieur Akoun Martin est très appréciée par l'ensemble des membres de l'association.

     

     

  • nouveaux élèves scolarisés au NEPAL

    Des membres de l'association NAMASTE effectuant un périple dans le Terail, à l'ouest de Kathmandou, en ont profité pour d'une part aider à la construction d'une ashran avec notre correspondant sur place. Cette structure devrait regrouper autant d'enfants des rues que celle de Thankot: environ 80 enfants. Par ailleurs, 4 autres enfants seront scolarisés à la Marshanguy hight school, ce qui portera à 7 l'effectif en internat complet aidé par NAMASTE

  • code SIREN obligatoire

    A partir de 2008, les associations devront disposer d'un code SIREN délivré en général par les services de l'INSEE. Ce code est obligatoire et nécessaire pour se voir virer la subvention 2008.

  • dossiers 2008

    Les dossiers 2008 sont partis

  • Roger bertrand sur CONTACT FM 88.8

    Roger BERTRAND a été reçu sur Contact FM le 3 Janvier pour donner les grandes orientations de l'Association Aude Tiers Monde. Un projet est en préparation qui donnera régulièrement parole aux ONG audoises afin qu'elles exposent les missions qu'elles mènent dans divers pays.